Depuis combien de temps êtes-vous cliente chez Beldona?

Depuis mon premier soutien-gorge, je crois. C’est-à-dire depuis que j’ai 14 ou 15 ans. Ma mère m’avait emmenée dans un magasin Beldona. À l’époque, je ne connaissais pas encore Beldona, mais j’avais toujours vu les jolis soutiens-gorge de ma mère. Mon premier soutien-gorge venait de chez Beldona et depuis, j’y suis restée fidèle. J’ai déjà essayé d’acheter des soutiens-gorge dans un autre magasin, mais ils ne me faisaient pas un joli décolleté. Ayant une poitrine généreuse, j’ai besoin de soutiens-gorge bien ajustés.

Avez-vous une relation particulière avec la boutique de Liestal?

C’est là que j’ai grandi. C’est une jolie petite boutique. Quand j’entre, ils me saluent. Ils connaissent ma mère et son histoire avec le cancer du sein. C’est agréable d’entrer et de pouvoir dire: «Quelles sont les nouveautés? J’ai vu cet article, pensez-vous qu’il m’irait?» Et on nous dit à toutes les deux, en toute honnêteté, si c’est le cas ou non. C’est quelque chose que j’apprécie beaucoup et c’est aussi l’une des raisons pour lesquelles je retourne à chaque fois dans cette boutique. J’espère qu’elle ne fermera jamais.

Le shooting vous a-t-il plu?

Ça m’a beaucoup plu. Vous formiez une super équipe. Oliver, le photographe, vous donne l’impression d’être une vraie superstar. Je me suis sentie très à l’aise. Au début, j’étais un peu nerveuse, mais ensuite j’ai simplement suivi les consignes d’Oliver, et ça a très bien fonctionné. Je me suis sentie de plus en plus à l’aise.

Quel est l’impact de nos produits sur votre bien-être?

Tous mes pyjamas, robes d’intérieur et sous-vêtements viennent de chez Beldona. On ne peut que se sentir à l’aise dans les produits lors du shooting, quand tous les vêtements de bien-être que l’on porte chez soi viennent de chez Beldona. Tous les éléments de bien-être dont j’ai besoin pour m’habiller viennent de chez Beldona. On peut presque dire que j’y suis un peu accro. C’est drôle, ma meilleure amie se moque toujours de moi parce que mon soutien-gorge doit toujours être assorti au bas. Je ne peux pas mettre un soutien-gorge qui ne va pas avec le bas. J’ai donc beaucoup de sous-vêtements. 

Y a-t-il des moments du shooting qui vous resteront particulièrement en mémoire?

Les photos prises avec ma mère. Au début, quand je ne savais pas encore ce qui m’attendait. Les moments où nous avons ri. La salle de bain était très spéciale quand j’ai dû me regarder dans le miroir et poser en sous-vêtements.

Le shooting a-t-il eu un impact sur votre confiance en vous?

Oui, à la fin, je me suis lâchée, alors qu’au début, j’étais plutôt intimidée. Quand on sent que ça fonctionne et qu’on commence à savoir ce qu’on doit faire, ça donne un peu plus de confiance en soi. 

Avez-vous un message pour les autres femmes qui veulent être plus sûres d’elles?

Un shooting comme celui-ci donne de l’assurance, mais tout le monde ne peut pas se le permettre. Je pense qu’on peut simplement être fière de soi. Chaque femme a ses qualités et ses défauts. Je ne suis pas la plus mince, je n’ai pas non plus une silhouette parfaite. L’entourage fait aussi toute la différence: par exemple, lorsque vos proches vous soutiennent et se réjouissent pour vous. Quand j’ai annoncé à mes proches que je faisais ce shooting, ils étaient si heureux que cela m’a conforté. Je pense qu’il faut être soi-même et être fière de soi. Parce que chaque femme a tracé son propre chemin et chaque femme porte son propre fardeau. Il faut être fière de soi et avancer dans la vie avec fierté. Ce que l’on fait est toujours bien. Un jour, je suis tombée sur un dicton au travail, qui disait: «Tomber, se relever, relever la tête, redresser sa couronne, continuer à avancer.» Et c’est l’image que j’ai toujours en tête. Ça ne marche pas à tous les coups, mais peu importe

Vous étiez une équipe formidable, c’est pourquoi je n’ai pas eu peur de me montrer en sous-vêtements. Je me suis sentie très à l’aise, sinon je n’aurais pas fait de photos en sous-vêtements.